Comment se débarrasser des pigeons

Article du Figaro : Comment se débarrasser des pigeons

En Juin 2017, le Magazine le Figaro Immobilier a interroge JM MICHAUX sur la question des degradations liees a la presence de pigeons et sur les solutions qui existent pour s en debarraser. Retourver ici l article complet :

Les pigeons endommagent les façades et les cours d’immeubles; les municipalités s’organisent pour gérer l’afflux des volatiles; les propriétaires ont une obligation de protéger leurs biens. Des solutions préventives pour éviter le pire

Avec sa démarche dodelinante et son vol parfois mal assuré, le pigeon des villes, dit pigeon biset, est sans doute l’animal qui déclenche aujourd’hui le plus de passions urbaines. Ses défenseurs rappellent que sa présence est utile à la biodiversité des villes et que son solide appétit en fait un véritable adjoint au service propreté des municipalités. Ses détracteurs ne voient en lui qu’un « rat volant », détériorant avec ses excréments façades et bancs publics, et véhiculant de surcroît toutes sortes de parasites. Installé en ville depuis le moyen âge, le pigeon y a facilement trouvé gîte et couvert, investissant tous les espaces disponibles des immeubles (corniches, cheminées, combles…), et des constructions métalliques (métro aérien, halls de gares…). « Contrairement au pigeon ramier, qui niche dans les arbres, le pigeon biset de ville est un cavernicole troglodyte, qui fait son nid dans toutes les anfractuosités des bâtiments », explique Thomas Charachon, chargé des animaux en ville, auprès du pôle biodiversité du service de l’écologie urbaine de la mairie de Paris. Dans la capitale, aucun recensement précis n’a jamais été réalisé, mais la population actuelle de pigeons bisets est estimée à plusieurs dizaines de milliers d’individus. Le chiffre de 80 000 est même avancé, ce qui équivaudrait à un oiseau pour 25 habitants

« Paris, Lyon, Marseille… mais aussi toutes les grandes villes européennes partagent le même constat d’une surpopulation », note Jean-Michel Michaux, vétérinaire et président de l’Institut scientifique et technique de l’animal en ville (Istav). Mais ce n’est pas tant le nombre de volatiles qui pose problème, que leur regroupement massif à certains endroits. « Les pigeons sont des animaux grégaires qui aiment vivre en colonie. Dès qu’ils le peuvent, ils se rassemblent pour nicher ou se nourrir en groupe », explique Gilbert Gault, vétérinaire et responsable du service de l’écologie urbaine à Lyon. Et c’est là que le bât blesse. « Une fiente de pigeons sur une fenêtre, ce n’est pas très agréable, mais c’est sans conséquence. Il en va tout autrement, lorsqu’on doit se débarrasser des excréments de dizaines de volatiles », rappelle Marc Esculier, directeur de l’entreprise Hygiène et Habitat, spécialisée dans l’élimination de tous les parasites (pigeons compris), mais aussi administrateur de la chambre syndicale 3D (désinfection, désinsectisation et dératisation), qui intervient dans ce type d’opération.

De quoi s’alarmer

Les dégâts causés par les pigeons viennent en effet essentiellement de leurs déjections, très acides, qui souillent les rebords des fenêtres, les balcons, les cours d’immeubles et les toits, mais dégradent aussi les façades des bâtiments et le zinc des toitures ou bouchent tout simplement les gouttières et les conduits d’aération. « À raison de douze kilos de fientes par an et par pigeon, il y a de quoi s’alarmer », réagit Nathalie Franic, copropriétaire d’une résidence à Belleville, régulièrement colonisée par une bonne quinzaine de pigeons. « D’autant que certains de ces volatiles roucoulants peuvent aussi être porteurs de germes de différentes maladies », ajoute Marc Esculier. Ornithose, salmonellose ou encore toxoplasmose peuvent effectivement, dans certaines conditions, être transmises par des pigeons. « L’ornithose, qui ressemble à une grippe d’été, pourra être contractée par une personne qui recueille un pigeon malade ou par un agent des services municipaux qui nettoie des bâtiments souillés par les fientes de ces animaux. Mais cela représente moins de 100 cas par an en France », relativise Thibaut Lanchais, directeur de l’Istav. Les pigeons transportent également des puces (tiques molles), qui peuvent infecter un grenier où auraient niché un grand nombre d’oiseaux. D’où l’importance de toujours bien nettoyer et désinfecter des combles avant de les transformer en habitation. « Contrairement à ce que pensent beaucoup de gens, les pigeons ne présentent pas de risque sanitaire important pour la population humaine et ils ne sont pour l’instant absolument pas un vecteur de diffusion de la grippe aviaire », affirme Gilbert Gault. Seuls les très jeunes enfants, les personnes âgées ou malades, et plus particulièrement immunodéprimées, doivent éviter les contacts avec ces oiseaux, comme ils le feraient avec d’autres animaux ou toute autre source microbienne.

La lutte s’organise

Limiter l’afflux et la concentration des pigeons en ville relève tout d’abord de la politique municipale. Paris joue la carte de la cohabitation pacifique, prônant le respect de la faune. Pour contrôler les naissances, des « pigeonniers contraceptifs » (voir la photo p. 52) ont été installés dans certains quartiers de la capitale et un prestataire vient régulièrement secouer (fortement) les œufs des locataires, afin de limiter les couvées à une par an, au lieu de six à huit habituellement. À Marseille, où l’on parle beaucoup plus directement de « dépigeonnisation », l’on pratique la capture au filet propulsé par ressort. Une technique homologuée par le ministère de l’Agriculture

À Lyon, à Strasbourg, mais aussi à Caen, à Charleville-Mézières et dans de nombreuses communes de l’Hexagone, les services municipaux organisent, eux aussi, des campagnes régulières de capture, dans l’espoir de limiter la population en déplaçant ou en éliminant les colonies. « Nous capturons chaque année quelque 8 000 pigeons pour maintenir la population à un niveau acceptable dans l’agglomération lyonnaise », confie Gilbert Gault. « Mais, c’est comme écoper une baignoire qui se remplit en permanence ». La capture dynamise en effet la reproduction des pigeons restés sur place. Et lorsqu’on sait qu’un pigeon atteint sa maturité sexuelle en deux mois et peut pondre un œuf toutes les trois semaines… le problème devient vite insoluble ! Les pigeons capturés sont systématiquement euthanasiés, le transfert des volatiles à la campagne étant aujourd’hui interdit. « Cette opération se pratique généralement dans des caissons dans lesquels on injecte du gaz carbonique », explique Thibaut Lanchais. Une méthode réprouvée par les associations de défense des animaux.
Pour éviter de passer pour des « bourreaux de pigeons », d’autres municipalités expérimentent des solutions plus douces, telles que la stérilisation des œufs ou des volatiles, ou même la distribution de pilule anticonceptionnelle à base de progestatif de synthèse. À Lyon, comme à Londres d’ailleurs, l’on favorise aussi le retour des faucons crécerelles et des faucons pèlerins — des prédateurs naturels des pigeons — en leur construisant des nids. « Mais toutes ces méthodes, prises isolément, n’ont aucune efficacité à long terme et représentent un coût considérable pour la collectivité », objecte Jean-Michel Michaux.

Tous les spécialistes que nous avons interrogés s’accordent en effet à dire que la solution la plus efficace — et souvent la moins coûteuse — pour lutter contre la prolifération des pigeons, n’est pas de s’attaquer directement à l’animal, mais plutôt d’identifier avec précision les causes réelles des regroupements de ces volatiles dans une ville ou dans un quartier, afin de pouvoir ensuite les supprimer. « Pour obtenir le résultat recherché, il faut une observation approfondie et minutieuse du milieu qui prenne en compte le comportement des pigeons », prévient Thibaut Lanchais. « Le moyen de lutte le plus efficace contre le pigeon bizet consiste à modifier son milieu », confirme Gilbert Gault. Aussi, dans la plupart des grandes villes, la priorité est-elle aujourd’hui donnée à des actions de prévention, visant à la fois à limiter l’accès à l’alimentation pour les pigeons, mais aussi à réduire leurs lieux de « perchement » et de nidification.

Mieux vaut prévenir…

La distribution de nourriture est en effet la première des causes de prolifération et de regroupement des pigeons dans certains quartiers. À Paris, elle constitue d’ailleurs une infraction au règlement sanitaire départemental et est passible d’amendes pouvant atteindre 450 euros (voir encadré p. 53). Encore faut-il surprendre les contrevenants en flagrant délit… et se résoudre à dresser un procès-verbal. « C’est un travail délicat, car les nourrisseurs sont souvent des personnes âgées, aux faibles revenus, pour qui cette activité correspond à un véritable besoin de sociabilisation », explique Thomas Charachon. Des campagnes de communication sont donc régulièrement organisées auprès des nourrisseurs pour les sensibiliser aux enjeux d’hygiène et de santé publiques et leur rappeler l’interdiction. Mais entre les plaintes des administrés et la gestion au quotidien des nuisances, les responsables des services techniques marchent véritablement… sur des œufs.

S’attaquer à la protection du bâti est relativement plus facile. Dans la capitale, le règlement sanitaire impose, par exemple, aux propriétaires d’immeubles (art. 41 ter) de grillager les ouvertures susceptibles de permettre l’entrée des pigeons et autres animaux (voir encadré p. 53). Il leur revient également de pourvoir au financement des dispositifs répulsifs les mieux adaptés à leurs immeubles : picots, filets, fils tendus, pouvant être installés, par exemple, à l’occasion d’un ravalement. Ces dispositifs doivent bien évidemment être respectueux de la qualité architecturale des façades, mais aussi de l’intégrité physique des animaux, les pratiques cruelles ou mortelles, comme le badigeon de glu, étant interdites. À l’automne 2007, un courrier va d’ailleurs être adressé à tous les syndics et les bailleurs d’immeubles parisiens pour leur rappeler leurs obligations. « La Ville de Paris s’emploie à protéger son patrimoine bâti contre la nidification massive des pigeons, tout en veillant à ne pas intervenir sur les sites où nichent les autres espèces d’oiseaux. Les propriétaires et les syndics d’immeubles, les gestionnaires de bâtiments, et autres constructions, présents aux abords des pigeonniers sont invités à faire de même », conclut Thomas Charachon.

D’autres villes ont pris des arrêtés municipaux ou préfectoraux qui vont dans le même sens, en interdisant par exemple d’accueillir, sur un terrain privé ou un immeuble, un nombre d’oiseaux susceptibles de nuire à la santé. « Nous avons dans la ville des observateurs privilégiés (jardiniers, contractuels, agents municipaux…), qui nous signalent les regroupements. Si un immeuble abrite des pigeons, nous demandons aux propriétaires de prendre les mesures nécessaires pour empêcher les pigeons de nidifier », confie Gilbert Gault. Et si les proprié­taires ne s’exécutent pas, la ville de Lyon n’hésite pas à intervenir d’office pour faire réaliser les travaux… et envoie ensuite la facture aux propriétaires concernés. Des amendes de 11 à 450 euros peuvent également être délivrées, multipliées par le nombre d’appartements dans l’immeuble. Tout occupant d’un immeuble concerné a par ailleurs la possibilité d’agir sur le fondement des troubles de voisinage, afin d’obtenir du juge qu’il enjoigne le propriétaire en cause de faire les travaux nécessaires. Cette décision pouvant être éventuellement assortie d’une astreinte. Cette pénalité sanctionne chaque jour de retard pris dans l’exécution de ces travaux.

Des équipements efficaces

Sur le terrain, la lutte contre les pigeons s’organise donc. « Les techniques d’éloignement des oiseaux existent depuis l’Antiquité. Mais les solutions réellement performantes sont apparues il y a seulement une trentaine d’années », précise Marc Esculier. Les professionnels ont commencé par protéger les façades des bâtiments en utilisant un gel qui avait pour propriété de coller sans fin, et dans lequel les pigeons s’engluaient. Une technique aujourd’hui abandonnée. « Certains pigeons se retrouvaient prisonniers de la glu et finissaient par mourir sur pied. C’était devenu le cauchemar des ravaleurs », note-t-il.

Pour éviter le perchement, les armes les plus répandues sont désormais les pics et les picots, généralement en métal. Mais il en existe aussi en plastique et sous forme de pyramides. Constituées de petites tiges avec un effet ressort, disposées sur un socle de plastique plus ou moins large, ces herses se collent — ou parfois se clouent — sur tous les supports où peuvent se poser les volatiles. « L’efficacité de ces dispositifs varie selon l’épaisseur du socle, la hauteur ou l’écartement des tiges », précise Marc Esculier. Mais aucun risque pour les pigeons de s’empaler : « Ils repèrent très vite que leur perchoir favori est hors de portée de leurs pattes et cherchent un nouveau lieu d’accueil », ajoute Thibaut Lanchais. D’où l’importance de toujours traiter un immeuble dans sa globalité. « Si l’on équipe toutes les fenêtres mais pas la gouttière, on ne fait que déplacer le problème. Et au final, cela coûte toujours plus cher de faire revenir plusieurs fois une entreprise », souligne Marc Esculier.

Proposés avec des supports de différentes couleurs (pierre, zinc, translucide) pour se fondre dans le décor, ces pics et picots peuvent s’acheter directement dans tous les grands magasins de bricolage (Leroy-Merlin, Castorama, BHV…) pour environ 15 euros le mètre linéaire, auxquels il faut ajouter le prix de la silicone. Mais l’accès, souvent malaisé, et la nécessité d’un nettoyage préalable des surfaces à traiter rendent la plupart du temps indispensable le recours à une entreprise spécialisée. Chez Hygiène et Habitat, qui intervient en région parisienne, les tarifs oscillent entre 18 et 30 euros TTC par mètre linéaire, mais il est souvent nécessaire de poser plusieurs rangées sur un même rebord de corniche ou de toiture pour en condamner réellement l’accès. « Les pics représentent aujourd’hui 70 % des systèmes utilisés », indique Marc Esculier. Leur défaut majeur reste leur côté inesthétique et l’inaccessibilité de certains emplacements. Pour protéger les mains courantes des fenêtres ou les garde-corps, il est également possible de fixer des câbles métalliques gainés tendus par des potences, qui dissuadent les volatiles de se poser. Moins agressive visuellement que les pics, cette solution s’avère aussi nettement plus chère (30 à 50 euros le mètre linéaire) et plus laborieuse à mettre en œuvre, car il faut fixer un câble au minimum tous les cinq centimètres sur l’ensemble de la surface à protéger.

Certains professionnels utilisent également la répulsion électrique ou électromagnétique, qui maintient à distance les oiseaux. Mais ces procédés nécessitent l’installation d’un générateur et la pose d’un câble sous tension (4 000 à 5 000 volts avec un faible ampérage, l’équivalent du fil à vache dans les champs). « Ces systèmes sont très efficaces, car les pigeons mémorisent les lieux qui sont protégés et ne s’en approchent plus », reconnaît Thomas Charachon. Mais leur coût élevé, la nécessité d’une maintenance régulière, et les risques possibles d’accident en cas de contact avec les câbles pour les personnels qui interviennent sur les toits, limitent leur utilisation aux monuments historiques ou aux façades classées de certains immeubles. « Les copropriétés y ont très rarement recours », reconnaît Thibaut Lanchais.

Pour protéger les arrière-cours, les loggias, les cages d’escaliers à l’air libre, mais aussi les toi­tures à ouvertures, les syndics sont, en revanche, très souvent amenés à faire poser des filets de couverture en nylon, traités anti-ultraviolet, et proposés généralement avec des mailles de 5 cm x 5 cm. « Il en existe de différentes tailles et de différentes couleurs. Mais ce sont des produits très techniques, dont la pose nécessite obligatoirement l’intervention d’un poseur professionnel », prévient Nathalie Franic. Leur coût dépend de la surface à couvrir, des découpes à effectuer, de l’intervention ou non de cordistes pour effectuer les jonctions, ou encore de la nécessité de louer une nacelle. En région parisienne, les prix oscillent ainsi entre 35 et 50 €/m2. « Le plus onéreux, c’est bien évidemment la mise en œuvre, non le matériel », lance Marc Esculier. « Pour limiter la facture, les propriétaires ont donc tout intérêt à profiter de l’obligation de ravalement tous les dix ans pour effectuer les travaux nécessaires », recommande Jean-Michel Michaux.

Le bon prestataire

Certains ravaleurs et couvreurs-zingeurs ont d’ailleurs ajouté le traitement anti-pigeons à leurs prestations. Parfois, il suffit juste d’arrondir un angle sur une corniche, de poser un petit grillage ou du plexiglas sur un œil-de-bœuf, ou encore de remplacer une vitre cassée ou une tuile manquante pour empêcher les pigeons de se percher ou de nidifier. « Encore faut-il que le travail soit bien fait pour que le remède ne soit pas pire que le mal », prévient Nathalie Franic. La pose d’un grillage ou de pics trop en retrait d’une ouverture peuvent ainsi constituer un excellent support pour la construction d’un nid. Un filet mal tendu, ou placé trop bas au-dessus d’une cour, peut très vite se transformer en perchoir, ou pire encore… en véritable piège à oiseaux. « Il est indispensable de bien connaître la biologie et les habitudes des pigeons pour réaliser des travaux efficaces », rappelle Thibaut Lanchais. Choisir un prestataire n’est pas toujours chose aisée. « C’est une profession en marge de la dératisation, où le meilleur côtoie le pire, et où le montant des factures peut varier dans un rapport de un à dix », prévient Gilbert Gault. Dans les grandes villes, le plus simple est de se rapprocher des services municipaux concernés, afin de solliciter un avis. « Il n’existe pas de subvention pour ce type de travaux, mais nous pouvons conseiller les copropriétaires ou les syndics sur les solutions les plus adaptées à leur problème », ajoute Gilbert Gault. Il est également recommandé de s’adresser à la chambre syndicale 3D, qui regroupe quelque 80 prestataires sur toute la France, dont un tiers a une spécialisation dans la lutte contre les pigeons.

La mise en place d’une solution nécessite toujours une étude préalable sur site pour établir un devis. Ce dernier doit obligatoirement détailler toutes les surfaces à équiper, les produits utilisés, les contraintes d’accessibilité, mais aussi les frais de nettoyage des supports — indispensable pour permettre une bonne adhésion des picots. Il peut aussi inclure la souscription d’un contrat annuel d’entretien pour nettoyer ou recoller les équipements. Les dispositifs ont une durée de vie moyenne de cinq ou six ans et il n’existe pour l’instant qu’une garantie de moyens… pas de résultat. « Avec le problème de la grippe aviaire (qui ne concerne pour l’instant pas les pigeons, ndlr), les demandes d’intervention ont sensiblement augmenté. Les professionnels sont débordés et il n’est pas toujours facile de trouver un prestataire », reconnaît Marc ­Esculier. Il faut dire également qu’établir un devis sérieux pour une dépigeonnisation demande autant de temps que le chiffrage d’un ravalement… tout en rapportant beaucoup moins d’argent — de l’ordre de ­­‑3 000 à 5 000 euros en moyenne par chantier. On comprend mieux dès lors pourquoi certaines entreprises traînent un peu le pas… Insistez

Christiène Brancier
LE FIGARO
Juin 2007
Le Particulier Immobilier n° 232, article complet.
Auteur : BRANCIER (Christiène)
Source : leparticulier.lefigaro.fr/jcms/c_44876/comment-se-debarrasser-des-pigeons

Maîtrise des populations de pigeons biset

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